doublegunshop.com - home Forums General Discussion DoubleGun BBS @ doublegunshop.com St Etienne 1860-69 French double barrel percussion

Reading through some French sites, it seems the poinçon d'épreuve of Saint Etienne get complicated. Up until 1855 it seems the proof house was privately owned. After that it devolved to the Chamber of Commerce of Saint Etienne. It appears that it was common for the controller des canons to put his mark on the guns as well as the proof mark of Saint Etienne.

Here is the poinçon d'épreuve for Saint Etienne beginning in 1825. Here is an example for Nicolas Carteron (from the early 1700's...admittedly) to illustrate the point:


(One would expect the crown to disappear after the overthrow Louis Phillip in 1848...and restored 1855 when the French President Charles Lewis declared himself "Emperor Napoleon III. It was probably removed again after the battle of Sedan and the fall of Napoleon III and declaration of the 3rd French Republic 3 September 1870.)

So one would think that BD with a coronne would be perhaps a proof-house official. L.B.D or L.R.D. no doubt was the barrel maker. That is solvable but will take some time.

I'm still reading but hopefully FAB500 will know something.

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Le Banc d’Epreuve entre en turbulence à partir de 1848 : il n’y a plus de syndic, le tarif et la validité de l’épreuve sont remis en cause par les armuriers…

L’éprouveur Merley-Duon meurt en 1855. Il sera le dernier entrepreneur privé de l’épreuve. En effet, à la demande des armuriers, de la ville et de la chambre de commerce, dès 1856 et par décret impérial, la gestion de l’épreuve est confiée à la chambre de commerce et d’industrie de Saint-Etienne. Le Banc d’Epreuve de la rue de l’Heurton est racheté à la veuve d’Augustin Merley et Merley-Tivet, ancien canonnier et contrôleur de la manufacture impériale, est nommé comme éprouveur. Avec la stabilisation de son fonctionnement, le Banc d’Epreuve voit s’établir dans sa proximité les canonniers et armuriers qui doivent venir y faire éprouver leurs productions. Se constitue ainsi de fait, par économie de déplacement, entre la canonnerie établie aux Rives pour la manufacture impériale et le banc d’épreuve, un véritable quartier armurier.