There was Wonder bread...but it can't compete with a baguette. And woof woof = ouaf ouaf in French. Anyway, Wonder can't have sold a lot of them....the SN on mine is 732...on the engraved model above 570. So the output appears to have been in the hundreds rather than thousands.

Here's an interesting article on why arms makers began to make bicycles in Saint-Etienne:

http://books.openedition.org/editionsmsh/3747?lang=en

Héritages industriels et déterminations objectives

4Par-delà l’action personnelle de pionniers comme Pierre Gauthier constructeur de la première bicyclette française en 1886 ou Paul de Vivie apôtre du cyclotourisme plus connu sous le pseudonyme de Vélocio, et donc par-delà une explication possible en termes d’acteurs, la réussite de l’industrie stéphanoise du cycle – plus tardivement introduite ici qu’en d’autres villes – repose avant tout sur l’existence d’une structure industrielle favorable à la diffusion de l’innovation.

L’importance de l’armurerie dans la filiation technique

5A une époque où la machine n’avait pas encore remplacé la plupart des façons manuelles, le réservoir d’ouvriers expérimentés, formés par l’exercice des multiples métiers du fer et de l’acier, a notoirement contribué au développement de l’industrie naissante du cycle. Soit qu’il lui ait donné ses premiers chefs d’entreprise, tels les armuriers Auguste Dombret ou Dombret Aîné, le mécanicien Louis Chavanet, le quincaillier Claudius Gros... Soit qu’il lui ait fourni des savoir-faire et une mémoire technique aptes à générer nombre d’applications dérivées et novatrices, du forgeage des axes de pédalier à partir d’axes cylindro-coniques semblables à ceux que Louis Chavanet avait vu utiliser par un forgeur de la vallée du Furan pour tirer des branches de tricoises au martinet, à l’emploi par Albert Raimond du principe de la rampe hélicoïdale entraînant les chargeurs de mitrailleuse pour déplacer le pignon conducteur de son fameux changement de vitesse « le Cyclo »...

1 C’est en 1921, après l’installation de la MFAC dans ses nouveaux bâtiments de la rue Lassaigne, qu (...)
6Mais, si toutes les branches de la métallurgie stéphanoise ont leur part dans la réussite de l’industrie du cycle, y compris les aciéries, forges et fonderies lui fournissant produits bruts à transformer ou pièces à usiner, l’armurerie a pour elle de constituer une activité saisonnière, relativement complémentaire de l’activité du cycle. En effet, alors que le fusil se vend surtout de juin à octobre, la demande de bicyclette se manifeste de février jusqu’à août. Ce qui explique que nombre de fabricants d’armes se soient précocement établis fabricants de cycles (de la Société manufacturière d’armes et cycles de Saint-Etienne aux Ets Berger ou Rivollier... en passant bien sûr par la Manufacture d’armes et cycles de Saint-Etienne) sans avoir à spécialiser des ateliers1 où tours et fraiseuses servent indifféremment à l’usinage des pièces de l’arme et de la bicyclette.

2 A la MFAC, les fabrications dont on revendique la précision sont testées sur route et font l’objet (...)
7Et ces relations privilégiées tissées entre l’armurerie et l’industrie du cycle par les phénomènes de continuité technique et de complémentarité saisonnière, vont elles-mêmes susciter des pratiques similaires ou communes qui se retrouvent : au plan de l’organisation structurelle de branche (extrême division du travail inductrice d’une exceptionnelle spécialisation dans la fabrication des pièces détachées : panoplie complète des types d’unité de production depuis le limeur de cadres « en fenêtres » jusqu’à l’usine en passant par l’atelier familial ou le décorateur ambulant... ; adjonction d’activités complémentaires : machines à coudre, écrémeuses, pièces pour automobiles...) ; au plan de l’orientation commerciale et publicitaire (accent mis sur la qualité de la production, prouvée par l’application de systèmes de contrôle rappelant le Banc d’épreuve des armes2) ; au plan des localisations spatiales (juxtaposition des ateliers dans les arrière-cours des quartiers armuriers de Villebœuf et Saint-Roch avec cependant une extension du cycle vers le sud en direction de la plaine de Champagne) ; et même au plan de l’unité patronale (dans les premières années de création de la Chambre syndicale du cycle, partage les frais de location et de conciergerie avec la Chambre syndicale des armuriers ; banquets annuels communs ; ententes lors des élections à la Chambre de commerce...). Ce qui ne signifie pas pour autant que l’on puisse isoler l’histoire de l’industrie du cycle de cette autre composante fondamentale de l’identité stéphanoise qu’est l’industrie du ruban.

Since the above photos are masked, I'll post a few of the Wonder Fusil de Chasse photos here in case another Wonder wonderer wanders this way.



















Last edited by Argo44; 07/23/18 05:51 PM.

Baluch are not Brahui, Brahui are Baluch